Enjeux- Étape 1 : Les principes de base du label Passivhaus
- Étape 2 : L’approche globale adoptée par le label Passivhaus
- Étape 3 : Les calculs utilisés par le label Passivhaus
- Étape 4 : Cas particulier des bâtiments non résidentiels
- Étape 5 : Test d’étanchéité
- Étape 6 : Processus de certification
- Étape 7 : Le label Passivhaus face à BBC-Effinergie et Minergie
Les accords issus du protocole de Kyotoont abouti à un enjeu de taille : diviser les dépenses énergétiques par quatre, comparativement à la réglementation actuelle, ce qui correspond au « facteur 4 » de ce Protocole.
En France, cette démarche a généré différents labels liés aux performances énergétiques de l’habitat. Ils visent tous les mêmes buts : réduire de façon drastique les déperditions, limiter les consommations d’énergie, voire rendre l’habitat autosuffisant en terme d’énergie, c’est le principe de la maison passive.
Le label Passivhaus fait partie des labels permettant d’obtenir des bâtiments à très basse consommation d’énergie. Ce label d’origine allemande s’ajoute au label français BBC-Effinergie, le plus répandu dans notre pays, et au label suisse Minergie. Ces trois labels sont applicables aux bâtiments érigés en France, qu’il s’agisse de constructions neuves ou d’opérations de rénovation.
Nous vous détaillons ici les principales caractéristiques du label Passivhaus, ses points de vigilance et de contrôle, le processus de certification en France.